Saint-Aubin-sur-Mer A l’origine du premier tintamarre
Le premier tintamarre de Saint-Aubin-sur-Mer, en 2006, qui honorait aussi les réfugiés acadiens en France, trouve son origine à Moncton, en 1955, bien avant celui de Caraquet, en 1979…
Réfugiés acadiens et canadiens de la guerre de Sept Ans en France
Le premier tintamarre de Saint-Aubin-sur-Mer, en 2006, qui honorait aussi les réfugiés acadiens en France, trouve son origine à Moncton, en 1955, bien avant celui de Caraquet, en 1979…
En remontant la Loire à Saumur, les réfugiés acadiens destinés à la colonie agricole du marquis de Pérusse des Cars étaient passés à proximité d’un pays cher aux deux grands colonisateurs de l’Acadie…
Récit du bombardement du Havre de Grâce, début juillet 1759, et des dispositions prises par la ville, en particulier pour réconforter les réfugiés acadiens et leur prêtre missionnaire…
Histoire acadienne de Cherbourg, marquée par le destin d’une grande famille de l’Acadie française, la famille d’Entremont, originaire du Cap de Sable, en Nouvelle-Ecosse…
A Paris, au séminaire du Saint-Esprit, non loin de la place d’Acadie, deux séminaristes et demi-frères acadiens se sont engagés avec ferveur à servir leurs compatriotes exilés en Acadie et au Canada…
Ce n’est pas à l’occasion du Festival interceltique que les premiers Acadiens sont arrivés à Lorient, mais il y a plus de deux siècles, poussés par les vents mauvais de la déportation…
Des réfugiés acadiens venus d’Angleterre se sont installés et intégrés dans la société de Morlaix, à la fin du 18e siècle, quand la ville armait encore des navires corsaires en temps de guerre…
Récit de la retraite mouvementée à Paris de Pierre de Rigaud, marquis de Vaudreuil, dernier gouverneur général de la Nouvelle-France, depuis son départ contraint de Québec, en octobre 1760…
Un personnage influent a fortement contribué à rassembler, dans la ville de Loches et sa région, de nombreux officiers canadiens et leurs familles, tous nobles, formant un véritable « petit Canada »…
Saint-Jean d’Angély rassemblait déjà, fin 1763, 11000 migrants volontaires pour la nouvelle colonie de Guyane, qu’on appelait « Cayens », bien mal considérés par la population de la ville…